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La surveillance du SBV congénital conduite chez les petits ruminants du 4 janvier au 31 mai 2012, a permis d’identifier 1 145 exploitations atteintes. Le centre-ouest de la France est la zone qui a été la plus atteinte par le SBV congénital au cours de l’hiver 2011-2012 (quatre départements concentrent près de 50 % des foyers). L’importance de la population immunisée contre le SBV dans les zones atteintes en 2011 est mal connue. Une grande partie des bassins de production ovine et caprine ne semble pas avoir été fortement exposée au virus en 2011. L’impact du SBV congénital en cas de circulation virale en 2012 aux périodes adéquates pourrait être élevé l’hiver 2012-2013. [Télécharger le rapport]

Un bilan de la surveillance du SBV congénital chez les bovins conduite entre janvier et août 2012 sera prochainement disponible.

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Afin d' évaluer le statut des cheptels vis-à-vis de l'infection par le virus Schmallenberg (SBV), des Groupements de Défense Sanitaire départementaux (GDS) ont conduit localement des enquêtes sérologiques. Ces enquêtes ont porté sur des échantillons prélevés entre décembre 2011 et mai 2012, les séroconversions observées peuvent ainsi être considérées comme liées à la circulation du virus en 2011.

Au 20 juillet 2012, les résultats des enquêtes sérologiques réalisées par le réseau des GDS portent sur 132 élevages (70 élevages ovins et 62 élevages bovins) et regroupent :

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Des cas aigus d’infection par le virus SBV ont été notifiés en Suisse dans deux élevages bovins dans le canton de Berne, le 20 juillet. Les animaux atteints présentaient de la diarrhée et de la fièvre [Office vétérinaire fédéral]. Il s’agit des premiers foyers de SBV notifiés dans ce pays.

 

Les formes congénitales de l’infection par le virus SBV apparues au cours de l’hiver 2011 – 2012 ont révélé de façon différée la diffusion de ce virus dans plusieurs pays européens. Des cas d’infection congénital ont été identifiés jusqu’en juin en Angleterre chez des agneaux montrant que la circulation du virus a pu se poursuivre tardivement au cours de l’hiver (ProMED). L’identification de cas aigus démontre désormais que le virus SBV circule actuellement de façon active dans certaines zones,…

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Le virus de Schmallenberg a provoqué jusqu’à présent en France des anomalies fœtales bien identifiées (syndrome arthrogrypose–hydranencéphalie) ainsi que des avortements chez les petits et grands ruminants. L’atteinte aiguë sur les bovins est à ce jour prouvée sur le territoire national. Elle se traduit par un syndrome comprenant : hyperthermie (40-41°C), avec le cortège abattement, baisse de production sévère, anorexie, avec une rémission rapide. Les signes digestifs de diarrhée décrits par les néerlandais ne sont pas relatés en France dans les cas décrits aujourd’hui.

Les données cliniques sur cette atteinte aiguë sont assez lacunaires et dans le cadre des activités de la Plateforme d’épidémiosurveillance, une étude destinée à préciser le tableau clinique et une étude d’investigation sérologique et virologique sur les foyers rencontrés seront menées par la SNGTV et le Laboratoire de santé animale de l'Anses Maisons-…

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Les fiches de déclaration de suspicion d’infection par le virus SBV (voir les fiches) reçues au laboratoire de santé animale de l’Anses Maisons-Alfort ont été analysées pour décrire les signes rapportés chez les nouveau-nés, pour les trois espèces de ruminants, ainsi que les signes compatibles avec une infection aigüe par le virus SBV (infection qui serait survenue l’été ou l’automne 2011).

 

Télécharger le document décrivant les signes rapportés

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Une enquête sérologique SBV chez les bovins a été réalisée à l'initiative du Laboratoire d'Analyses de l'Allier. Des sérums prélevés dans le cadre de la prophylaxie entre le 1er décembre 2011 et le 31 mars 2012 ont été tirés au sort (un prélèvement par troupeau) en fonction de la densité des troupeaux dans le département. Sur les 103 sérums analysés par le test Elisa IDVET, 14 se sont révélés positifs, soit une prévalence de 13,6% (IC 95 [7,0 – 20,2]). Ces résultats indiquent une prévalence de positivité faible à modérée chez les bovins du département, compatible avec le petit nombre de cas détectés par la surveillance des malformations congénitales (8 foyers chez les ovins, aucun foyer bovin ou caprin au 7 mai 2012). En revanche, cette enquête ne permet pas de quantifier la séroprévalence en fonction des différentes zones du département, ni de quantifier la proportion de troupeaux infectés ou la proportion d’animaux infectés dans les troupeaux infectés.

Auteur Philippe…

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       Incidence hebdomadaire          

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 Incidence cumulée

 

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Actualisation (juillet 2012)

La disponibilité d’un kit ELISA SBV rend possible la réalisation d’enquêtes sérologiques. Des enquêtes de ce type pourraient être menées dans le cadre d’initiatives locales, départementales ou régionales. La Plateforme nationale de surveillance épidémiologique en santé animale encourage l’harmonisation des protocoles d’enquêtes qui pourraient être mises en œuvre localement : consulter les recommandations de la Plateforme (actualisées)

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De nombreux élevages sont atteints par le virus Schmallenberg (SBV) en France. Cependant, l’impact de cette nouvelle maladie en élevage est encore mal connu. GDS France et Coop de France pilotent deux enquêtes complémentaires dans le cadre de la Plateforme nationale de surveillance épidémiologique en santé animale pour estimer l’impact en élevage de l’infection et qualifier la situation des élevages ovins dans lesquels des suspicions cliniques non confirmées biologiquement ont été rapportées.

 

Dans le cadre de la Plateforme nationale de surveillance épidémiologique en santé animale, GDS France a lancé en février 2012, une enquête pour évaluer l’impact de l’infection SBV dans les élevages ovins, bovins et caprins dans lesquels l’infection par le SBV est confirmée par analyse virologique (RT-PCR) (voir les premiers résultats de cette enquête).
Jusqu’en avril 2012 le…

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Les tests sérologiques sont essentiels pour l’épidémiosurveillance et la conduite d’enquêtes épidémiologiques. Les anticorps peuvent être détectés par séroneutralisation ou immunofluorescence mais ces techniques sont longues à mettre en œuvre, difficiles à réaliser sur un grand nombre d’échantillons et ne permettent pas une interprétation standardisée des résultats. De ce fait, les connaissances sur la prévalence de l’infection dans les foyers de SBV étaient jusqu’à présent limitées, et celles dans les troupeaux non reconnus infectés inexistantes.

 

Prévalence intra-troupeau SBV
Les premiers résultats disponibles sur la prévalence intra-troupeau du SBV concernent des enquêtes ponctuelles réalisées dans un petit nombre d’élevages, sur un faible nombre d’animaux. Ils montrent des taux de séroprévalence intra-troupeau hétérogènes. Cette hétérogénéité pourrait, entre autre, tenir à la localisation des élevages, à leur statut, au choix des animaux prélevés, au type…

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