Votre recherche :

Résultat pour la recherche : 1 - 10 sur 23

L'Anses s'est autosaisie en avril 2013 pour évaluer les risques liés à la diffusion du virus Schmallenberg en France.

Le rapport correspondant a été rendu en février 2014 et est consultable dans son intégralité ici. Les conclusions indiquent qu'en l'absence d'un recours assez large à la vaccination, et "en fonction  de  la  proportion  de  naissances  de  sujets  réceptifs  (non  protégés),  de  la  vitesse  de renouvellement des populations réceptives et de la situation sanitaire, l'infection par le SBV pourrait évoluer sous la forme d'un processus enzootique à variations saisonnières et/ou d'une apparition pluriennale de pics épizootiques".

(Cliquez sur le titre)

L'Anses s'est autosaisie en avril 2013 pour évaluer les risques liés à la diffusion du virus Schmallenberg en France. Le rapport correspondant a été rendu en février 2014 et est consultable dans son intégralité ici

Les conclusions indiquent qu'en l'absence d'un recours assez large à la vaccination, et "en fonction  de  la  proportion  de  naissances  de  sujets  réceptifs  (non  protégés),  de  la  vitesse  de renouvellement des populations réceptives et de la situation sanitaire, l'infection par le SBV pourrait évoluer sous la forme d'un processus enzootique à variations saisonnières et/ou d'une apparition pluriennale de pics épizootiques".

(Cliquez sur le titre)

Suite à l’introduction du virus Schmallenberg (SBV) en France au cours du 2ème semestre 2011, celui-ci a progressivement touché l’ensemble du territoire national, au cours d’une « saison I » (avant le 31 août 2012) puis d’une « saison II » (entre le 1er septembre 2012 et le 31 août 2013). Parallèlement, une surveillance clinique de la fièvre Q a été mise en place dans 10 départements pilotes au cours de la campagne 2012/2013 (du 1er juillet 2012 au 31 juin 2013). Ces deux évènements ont pu impacter le dispositif de déclaration des avortements (DA) chez les bovins : le SBV en tant qu’infection congénitale, et le dispositif de surveillance de la fièvre Q (FQ) en tant que dispositif s’appuyant sur le dispositif de DA et conduisant à des frais supplémentaires pour les éleveurs engagés dans le protocole. 

Télécharger l'étude 

(Cliquez sur le titre)

L'Agence nationale du médicament vétérinaire (ANMV-Anses) a accordé le 31 juillet et le 5 août derniers deux AMM circonstances exceptionnelles pour les vaccins Bovilis® SBV du laboratoire pharmaceutique MSD Santé Animale et pour le vaccin SBVVAX® du laboratoire pharmaceutique Merial.

Ainsi, après une mise sur le marché le 21 mai dernier au Royaume-Uni, la France est le deuxième pays dans lequel un vaccin est disponible. Selon les deux fabricants, l'immunité serait acquise 3 semaines après la primo-vaccination (en 1 ou 2 injections selon les protocoles). La durée de l'immunité n'a en revanche pas encore été établie.

Selon les indications des fabricants, le vaccin sera probablement disponible pour la vaccination des moutons et des bovins avant la fin de l'été.

(Cliquez sur le titre)

La diffusion du virus Schmallenberg sur le continent européen se poursuit : au nord de l'Europe, l'Ecosse, la Norvège, la Finlande et la Suède sont maintenant touchés. Le virus s'est également propagé dans les pays d'Europe de l'est : Estonie, Lettonie, Hongrie, Slovénie et Croatie.

A noter également que des cas de SBV aigu ont été observés en Allemagne entre novembre 2012 et avril 2013, démontrant une circulation hivernale du virus.

Télécharger le rapport

(Cliquez sur le titre)

La surveillance du SBV congénital conduite chez les bovins du 4 janvier au 31 août 2012, coordonnée par la DGAL, a permis d’identifier à la clôture de la surveillance 2 019 exploitations atteintes. Le quart nord-est du territoire a été le plus touché par le SBV congénital au cours de l’hiver 2011-2012. Certaines grandes zones de production bovine ne semblent pas avoir été fortement exposées au virus en 2011 [Télécharger le rapport].

La surveillance des formes congénitales de SBV survenues à partir du 1er septembre 2012, coordonnée par GDS France, permet de suivre l’évolution de l’épizootie.

Le déploiement de la surveillance du SBV congénital est la première expérience de réponse à une émergence vraie dans le cadre de la Plateforme ESA. Cette expérience montre le potentiel d’adaptabilité et de réactivité de…

(Cliquez sur le titre)

Deux études ont été coordonnées par GDS France et réalisées par l'Institut de l'Elevage, avec l'appui des GDS départementaux et d'un comité de pilotage pluridisciplinaire :

- Une enquête détaillée réalisée dans 20 élevages ovins fortement touchés par le virus de Schmallenberg durant l'hiver et le printemps 2012 et situés dans le Nord, l'Est et le Centre-Ouest;

- L'analyse, dans le cadre de la Plateforme ESA, des impacts recensés dans 348 troupeaux lors des enquêtes descriptives effectuées par les GDS dans les élevages atteints.

L'analyse croisée des résultats de ces deux études a permis de décrire la forte variabilité des impacts du virus et d'estimer leurs conséquences à l'échelle de l'élevage.  Consulter la synthèse de ces études

(Cliquez sur le titre)

Afin de décrire les signes cliniques de l’infection aigüe par le virus SBV chez les bovins, une étude clinique a été conduite par des vétérinaires praticiens sous la coordination de la SNGTV pendant la saison d’activité des vecteurs en 2012.

Les signes cliniques ont été décrits chez des bovins adultes dans 12 troupeaux pour lesquels une confirmation biologique du passage du virus SBV concomitant aux signes a été obtenue.

Le taux moyen d’atteinte clinique s’élève à 20 % des vaches en production. La récupération de l’état général a lieu en général au 4ème ou 5ème jour. Les signes les plus fréquemment observés sont une hyperthermie (39,5 à 42°C) (les 12 troupeaux), une anorexie (neuf troupeaux), une chute de production (animaux présentant une chute de production de plus de 50% dans six troupeaux) et des signes digestifs (diarrhée aigüe profuse) (cinq troupeaux). Des pertes embryonnaires et fœtales en début de gestation ont également été observées…

(Cliquez sur le titre)

En Saône-et-Loire, des foyers cliniques de SBV ont été observés surtout à l’est et au nord du département, alors qu’une large partie de la population bovine occupe le sud ouest. Le G.D.S (Groupement de Défense Sanitaire) avec le soutien du L.D.A (Laboratoire Départemental d'Analyses) et du Conseil Général de Saône-et-Loire, a souhaité établir un état des lieux de la circulation virale sur ce département afin d’évaluer les risques à venir sur les populations sensibles (ruminants) du département.

L'enquête de séroprévalence envisagée vise à objectiver ces différences géographiques et à évaluer l'importance du matelas immunitaire présent sur les différentes zones du département, afin d'identifier les zones où une très probable recirculation virale en 2012 pourrait impacter le plus les élevages de ruminants. Télecharger la synthèse des résultats

(Cliquez sur le titre)

De façon à évaluer l’impact éventuel du SBV sur la survenue d’avortements en fin de gestation chez les bovins, une analyse a été conduite à partir des données de déclaration des avortements collectées dans le cadre de la surveillance de la brucellose. Elle n’a pas mis en évidence d’évolution significative de la proportion d’élevages ayant fait l’objet d’au moins une déclaration d’avortement au cours du 2ème semestre 2011 par rapport au 2ème semestre 2010 dans les départements ayant fait l’objet de déclarations de cas de SBV congénital au cours du 1er semestre 2012 par rapport aux autres départements.

Cette analyse sera prochainement complétée par les données 2012 de déclarations d’avortement. [Consulter l’étude]

(Cliquez sur le titre)